ELISE RAULLINE (AG2R LA MONDIALE): « CE QUI ME PLAIT DANS MON MÉTIER, C’EST D’ÊTRE POLYVALENTE »

Ce jeudi, nous avons rencontré Elise RAULLINE, chargée de communication chez AG2R LA MONDIALE. Employée polyvalente, aussi bien en logistique qu’en comptabilité, elle nous a transmis la passion de son métier, tout en répondant volontiers à toutes nos questions.

Interview d’Elise Raulline

Question : Qu’est-ce qui vous a donné envie de faire ce métier ? Avez-vous toujours voulu travailler dans la communication ou cette envie est-elle venue assez tardivement ?

R: Étant une ancienne sportive de haut niveau, j’aime énormément la compétition. Ce qui m’a donné envie, c’est de pouvoir retrouver ce côté « sportif » dans mon métier, mais aussi et surtout le côté passion et professionnel. En première/terminale, je savais déjà que je voulais travailler dans ce domaine. Après avoir fait un premier stage, j’ai orienté mes études vers la communication et l’événementiel, j’ai donc fait un BTS, une licence et un Master, tout dans la communication.

« Dans mon métier, on a l’occasion de toucher à tout, d’être polyvalent »

Q: Pourquoi avoir choisi Ag2r et pas une autre entreprise ?

R: Je suis entrée en alternance à Ag2r la mondiale en 3e année de communication. Ma responsable était intervenante dans mon école, et au début de l’année, elle a fait une annonce pour trouver un alternant. Au début, j’étais sceptique, travailler dans le secteur de l’assurance n’était pas quelque chose de très attirant… puis, au final, l’ensemble des missions proposées m’ont convaincue de tenter ma chance. Ce qui me plaît particulièrement, c’est de faire partie d’un petit groupe au sein d’une grande agence, car nous avons des rôles multiples qui ne se ressemblent jamais. Nos missions ne sont pas centralisées comme dans d’autres grandes structures. C’est-à-dire, nous ne faisons pas que du Community Management ou que de la gestion d’événements, on a l’occasion de toucher à tout et d’être polyvalent, c’est ce qui m’a plu à AG2R La Mondiale.

Q: Il existe un fantasme dans quasiment tous les milieux professionnels qui est celui d’aller travailler dans la capitale parisienne. Était-ce un objectif pour vous ?

R: Ce n’était pas un objectif en tant que tel pour moi. Étant normande, je suis attachée à la campagne même si Paris reste un passage obligé. En effet, une partie des écoles se trouve là-bas, ainsi que les entreprises qui prennent en alternance, notamment dans le domaine de la communication. C’est aussi une réelle possibilité de tremplin pour évoluer rapidement.

« Ce qui me plaît le plus, c’est le côté organisation »

Q: Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ? Et le moins ?

R: Mon métier a de nombreux côtés positifs, mais ce qui me plaît le plus, c’est le côté organisation. Ce qui me passionne c’est surtout de devoir établir l’ensemble des déroulés d’un évènement futur. Le côté que j’aime le moins, c’est tout ce qui se tourne vers la gestion des factures ou encore la gestion budgétaire.

Q: Vous avez travaillé pour la Fédération Française de Cyclisme, lors des championnats du monde sur piste en 2015 à Saint-Quentin-en-Yvelines. En quoi cette expérience d’un événement de grande ampleur vous a servi pour la suite de votre carrière ?

R: Effectivement, lors de ma 2ème année de BTS, je suis restée 2 mois là- bas en tant que stagiaire, grâce aussi à mon ancien statut de sportive de haut-niveau en cyclisme. Cet événement m’a marquée par son ampleur et m’a beaucoup appris sur mon métier et celui de l’organisation. Donc oui, cela a été une expérience très importante pour la suite de ma carrière.

« Il faut toujours avoir un plan B dans ce métier »

Q: Avez-vous des anecdotes à nous raconter ?

R: Raconter une seule anecdote serait compliqué, mais le métier de l’événementiel possède de nombreux imprévus. Parfois, il nous arrive parfois de devoir nous déplacer pour un événement lointain. On voyage alors avec de nombreux bagages, environ 30/40 valises, ce qui est… très encombrant (rires). Ou encore, il m’est arrivé, lors d’un événement digital d’envoyer un mail avec le lien de la conférence qui n’a été reçu par personne (rires). Ce qui montre qu’il faut toujours avoir un plan B dans ce métier là.

Groupe 6

Zoé Blateyron, Elisa Sage, Ilian Valet, Louis Gendry, Maelys Guet de Santis, Julien Chatre Dias, Mathis Veyrat, Firass

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