CECILIA BOURBON : « VOUS NE SAVEZ PAS QUAND VOUS TERMINEZ VOTRE JOURNEE »

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Dans le cadre de nos études à l’ISCPA, nous nous sommes rendus dans les studios de Tonic Radio. A travers cette interview, Cécilia Bourbon, journaliste nous explique son parcours.

« Tout d’abord, est -que vous pouvez nous raconter votre parcours scolaire ainsi que professionnel ? »

« Premièrement j’ai fait un bac économique et social qui n’existe plus aujourd’hui. Par la suite, j’ai passé le concours à l’ISCPA, l’école de journalisme à Lyon. J’ai été accepté et j’ai donc commencé mon Bachelor en journalisme. Pendant 3 ans, je n’ai pas arrêté entre les cours et les stages. Lors de ma troisième année, j’ai fait un partenariat avec Le Progrès en travaillant le Vendredi, Samedi et Dimanche, cela m’a également permis de réaliser mon stage de 6 mois dans ce média. A la fin de mes études, j’ai enchaîné les piges pour Le Progrès, puis un poste était à pourvoir chez Tonic Radio. J’ai tout de suite postulé et ma candidature a été retenue. Aujourd’hui me voilà, journaliste à la matinale chez Tonic depuis 7 ans ! ».

 « Et donc aujourd’hui, quel est votre journée type au sein de Tonic Radio ? »

« J’arrive le matin vers 4h30 et je termine à 18h le Lundi ainsi que le Mardi et à 11h le reste de la semaine. Je ne travaille pas le week-end. Je mets une heure à écrire des flashs pour la matinale en sachant que l’on projette un flash toutes les demi-heures. On fait comme dans toutes les rédactions, une revue presse, on fait le tour de la boîte mail afin de prendre connaissance de tous les communiqués de presse qui sont arrivés, on appelle aussi les pompiers et la police pour savoir ce qu’il s’est passé pendant la nuit. Ensuite on fait le tri et on écrit nos flashs en prenant en compte que la dominante chez Tonic c’est plutôt le sport. Un flash ne peut pas exister s’il n’y a pas de sport. Nos flashs se scindent en deux parties ; une partie actualité générale qui comporte l’actualité régionale et environ deux titres nationaux et l’autre partie concerne le sport. Vous ne savez pas quand vous terminez votre journée. Certains journalistes préfèrent quand il n’y a pas beaucoup d’actualités car cela permet de bien la travailler. En ce qui me concerne, c’est l’inverse, s’il y a bien un truc qui m’énerve, c’est répéter la même chose.

« Et comment faites-vous pour sélectionner une information ? »

« Alors, nous nous avons un avantage en radio par rapport à la presse écrite. En presse écrite, nous sommes limités au nombre de pages alors que nous, sachant que nous avons un flash toutes les demi-heures le matin, on peut faire circuler plus d’informations facilement. »

EQUIPE 3

CRAPIZ Lola, COMBETTE Lilou, CURVAT Louis, ELIOT Théophile, MILLOT Valentine, BASSANI Chiara, DEPASSE Bastian, GENESTE Mathis, CHALVET Léa.

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