C’est lorsque tout le monde s’est connecté que nous avons pu rencontrer Alixan Lavoret, ancien élève de l’ISCPA. Journaliste chez BFM région, il nous présente son environnement avec entousiasme. Sa passion lui étant venue de façon soudaine, presque frappante, et depuis il semble bercé dans cet univers sans vouloir le quitter. En effet, il désigne même sans peur son métier de “meilleur métier du monde”. Il nous raconte ce que signifie d’être journaliste, et le plaisir de rencontrer toute sorte de personne différentes chaque jour sans jamais pouvoir s’ennuyer. Il nous explique que de toute façon l’ennui n’a même pas le temps d’exister, puisque branché sur dix antennes, il trouve toujours une informations à traiter, vérifier et publier. Ainsi aucun jours de travail ne semble pouvoir se ressembler puisque chaque jours les sujets se distinguent, offrant une possibilité de travailler sur n’importe quel secteur sans jamais changer de profession.
Puis il nous a parlé de la chaine d’information en elle-même, expliquant que sa vision de BFM ne semble pas avoir changé depuis qu’il y travaille. Pour lui, cela reste la chaîne que les Français allumeront quand ils veulent une information en particulier. De plus, il insiste beaucoup sur le fait que personne ne sait vraiment comment un media fonctionne tant que l’on y travaille pas et il trouve cela facile de critiquer et de ne pas aimer pour cette même raison. Il nous donne le conseil de garder notre esprit ouvert, en laissant une chance à ce que l’on ne connait pas nécessairement avant de ne pas l’aimer.
Pour finir, il nous décrit son travail, guidé par nos différentes questions intéressées et nous répète qu’il ne veut pas changer pour l’instant, seulement s’améliorer et s’ouvrir à de nouvelles possibilitsé encore et encore. En effet, il nous dit se tenir sur l’idée que le présent est le plus important et que le futur arrivera à sa vitesse, et à ce moment-là il sera où il aura besoin d’être, comme poussé par un vent invisible.
BFM région est un service d’information en continu qui a pour objectif d’offrir à ses auditeurs une information vérifiée par au moins deux personnes à chaque fois. Bien qu’il semble d’accord que l’information en continue peut parfois devenir anxiogène, il considère que s’ils n’en parlent pas, personne d’autre ne le ferait et cela pourrait facilement se retourner contre eux. Ainsi, lui et ses collègues au sein de BFM se laissent, d’après lui, couler au fil des infos, appréciant la vocation qu’ils ont pour ce partage d’information.