La région Occitanie est une collectivité agissant sur certains domaines clés (transports, éducation, économie…) avec une mission : aider et améliorer la vie de ses citoyens. Pour le faire savoir, une équipe de communication est essentielle.
En préparation de cette rencontre, on a fait un constat. Peu de personnes sont au courant des vastes fonctions pour la jeunesse occitane que propose la collectivité en dehors d’exception telle que l’ordinateur de la région ou les bus régionaux. Nous avons rencontré l’équipe de communication de la région Occitanie.
Avez-vous prévu de réaliser une nouvelle campagne pour faire connaître encore plus l’entité Région Occitanie, ses services divers et l’accompagnement proposé à la jeunesse locale et les parents?
Vincent Leymarie, service des campagnes de communication : « On essaye d’être présent dans tous les aspects de la vie des jeunes. En termes de transport il y a les bus, mais aussi les transports Lio trains. On fait des campagnes sur ces sujets. Au niveau des réseaux sociaux on essaye de s’adapter à la cible, d’aller vers des supports qu’utilisent les jeunes. Si nous posons la question à des adultes en demandant quelles sont les compétences de la région, beaucoup ne seront pas que ce sont les lycées. On se rend bien compte que c’est difficile de tout faire savoir mais on ne perd pas espoir, il reste encore beaucoup de travail. »
Est-ce que la collectivité Région Occitanie a une audience ciblée et prioritaire dans ses campagnes ?
Vincent Leymarie : « En réalité la cible est très large, ce sont tous les citoyens d’Occitanie. Après il faut savoir qu’on communique rarement à l’extérieur de l’Occitanie. Tous nos messages sont pour nos citoyens. Il faut juste faire savoir les dispositifs d’aides qu’on offre. On n’a pas de cible prioritaire, le but c’est de faire savoir le dispositif dont on parle. Le but de toute notre communication c’est vraiment de se faire reconnaître en tant que région Occitanie. »
Au vu de votre pôle de communication investi récemment sur les réseaux sociaux et le digital, est-ce que la transition avec le média traditionnel était compliqué ou naturel ?
Aziz Oulhiyane, pôle réseaux sociaux : « Au tout début c’était compliqué. Il a fallu acclimater les élus, le cabinet et la direction au numérique, c’était long. On a encore un peu de difficulté là dessus. La rédaction pour le papier et pour le digital n’est pas du tout la même. Il y a des campagnes qui sont pensées pour le Print. Une fois tout validé, on nous demande de le mettre sur le digital alors que ça ne correspond pas à notre format. Maintenant c’est intégré, il y a de meilleures réflexions, stratégies et de bons résultats. On arrive à faire des correspondances avec le journal et nos services communications. C’est vraiment de la collaboration. »
G5 – ISCPA Toulouse : Mila, Alix, Corentin, Paul et Florian