« Sopra Steria, c’est construire ensemble un avenir positif et mettre le digital au service de l’humain », tel est l’objectif de la société basée à Paris. Sopra Steria est riche de 52 ans d’expérience dans le secteur du numérique et se veut être une entreprise propre et responsable de leurs impacts sur l’environnement.
Le Carbon Disclosure Project a récompensé en janvier 2020 et pour la troisième année consécutive Sopra Steria pour son application dans la lutte du changement climatique. Ainsi Sarah Salles et Rodolphe Assere, responsable développement web et développement des applications mobiles à la Mobil Factory au sein même du groupe Sopra Steria ont amorcé le sujet du respect de l’environnement.
Qu’entendez vous par le développement durable dans le secteur du numérique ?
Chez Sopra Steria le développement durable est accès sur la transformation numérique durable soit changer les habitudes. C’est-à-dire accompagner nos clients, nos collaborateurs ainsi que nous-même aux changements des habitudes pour développer nos applications de manière plus écologique. Lors de la création de l’architecture de l’application, il est nécessaire de se poser systématiquement des questions dite « écologique ». Comment avoir le réflexe de prendre en compte le fait que les données vont être stockées à tel endroit ? En quelle quantité ? Est-il possible de les supprimer ? Car les données, les fichiers ne sont pas nécessaires tout le temps, et n’altèrent pas au bon fonctionnement de l’entreprise. Pour moi c’est ça le fait de faire du développement durable dans le sens du développement informatique.
Quelles sont les actions du projet 0 émission net que vous venez de mettre en place ?
Les premières actions qui ont été réalisé gravite autour du développement informatique écologique. Les données que nous avons tel que Facebook, Instagram et tant d’autres sont stockées dans des immenses serveurs, ce qu’on appelle les Data center. Ces Data center polluent énormément, pour vous faire un exemple, envoyer un mail pollue beaucoup plus que d’envoyer une simple lettre à la Poste. Tout ce que l’on fait sur le net à un impact, un simple mail placé dans la corbeille continue à polluer. Ainsi nous réduisons au maximum nos données inutiles pour commencer.
Avez-vous fixé des objectifs écologiques pour vos collaborateurs ?
Il y a une réelle sensibilisation à ce sujet-là, au niveau des équipes Sopra et de nos collaborateurs, nous suivons des formations accès sur le respect de l’environnement. À l’instar d’Airbus, des initiatives sont mises en oeuvre pour la réduction carbone, ici il s’agit de compenser la grosse pollution aérienne. Chez Sopra on développe des applications on n’est pas une entreprise de production très polluante seulement on applique des mesures de réduction carbone également. Il y a une compensation par le biais d’initiatives du type replanter des arbres, créer des formations dites responsables… ces genres d’initiatives sont présents sur nos réseaux sociaux.
À votre échelle on vous demande de faire quoi comme action pour minimiser l’impact sur l’environnement ?
On évite déjà d’envoyer des mails qui ne sont pas nécessaires, on supprime définitivement les mails inutiles. On reçoit à peu près une dizaine par jour c’est une énorme consommation, c’est quelques choses sur lequel on nous demande de faire attention. (les e-mails génèrent 410 millions de tonnes de CO2 par an). On nous demande également d’arrêter d’imprimer inutilement les papiers il faut éviter les impressions au maximum, ce sont nos actions quotidiennes. Après il y a des actions de plus grandes ampleurs, comme celles engagées pour 2028. Aujourd’hui il y a un développent des formations écologiques dans notre secteur de création numérique pour prendre les bonnes pratiques de développement pour permettre de réduire notre impact.
Groupe 8 / Team Masquée : Zoé, Laury, Gabriel, Baptiste