C’est dans cet espace de 39 000m2 que n’importe qui peut, gratuitement, venir pratiquer l’art. Qu’il s’agisse d’une association, d’une troupe ou d’un start-up, le Centquatre en a pour tous les goûts.
Atypique serait le mot parfait pour décrire ce lieu historique, qui, reprit en 2010 par José-Manuel Gonçalves, est un pôle culturel incontournable du XIXe arrondissement de Paris.
En effet, l’ancien bâtiment des pompes funèbres de Paris regorge de petits endroits cachés et de larges espaces où tous se côtoient, mais où chacun est plongé dans sa bulle. Il n’y a pas une journée qui se ressemble au Centquatre, un jour une troupe vient répéter sa pièce, et le lendemain, un séminaire s’installe.
Un lieu complètement adaptable
Modulable, c’est aussi un terme à employer lorsque l’on veut décrire cet enchaînement de salles qui ne sont jamais vides. Son extrême polyvalence vient des aménagements réalisés depuis la cessation de son activité originelle, et de son adaptation aux demandes du public. Les gradins se déplacent, les plafonniers tournent, et surtout, la disposition n’est jamais la même.
Pensé selon les besoins de la population des quartiers du Nord de Paris, le Centquatre propose aussi un accompagnement parent-enfant dans la Maison des petits, ou un soutien à plusieurs start-up dans la 104Factory. Enfin, en plus de suivre et d’accueillir des artistes pour une résidence, le centre propose aussi un suivi de production pour les aider à développer leur notoriété.
Le Centquatre en quelques mots, est un espace unique pour tout et pour tous.
Groupe 7 : Emmy Thomas-Gatel, Mathis André, Charlotte Labarbe, Shwetha Pirabaharan