Boris Heim nous donne les clefs de la réussite

Catégories InstitutionÉtiquettes , , , , Publié le Le

Le Club de la Presse de Lyon est un véritable écosystème entre journalistes, communicants et entreprises partenaires.

Nous avons créé un annuaire dans lequel tous nos adhérents sont répertoriés y compris les étudiants sur l’annuaire web. Ceci leur permet d’être repéré plus rapidement par des entreprises ayant besoin d’une aide spécifique. Des professionnels peuvent également faire appel à eux pour des piges ou d’autres travaux.

Les partenariats avec les écoles vous ont-ils permis de toucher et sensibiliser les plus jeunes  ?

Nous considérons les étudiants comme de futurs confrères et consœurs. Il est de notre devoir de les aider à s’insérer dans les métiers de la communication et du journalisme car lorsqu’ils arriveront sur le marché du travail et il leur faudra des contacts.

Quelle est votre source principale de financement ?

Nous avons peu d’argent car les métiers dans le journalisme et la communication subissent une crise due à la défiance du grand public. Les médias n’ont pas su prendre le virage internet et les financements publicitaires ne leurs reviennent plus aujourd’hui  mais aux géants d’internet. Notre principale source de financement provient de nos adhérents. Pour nous permettre de financer des projets nous essayons de lever des fonds.

Le développement  de votre site web en 2021 a-t-il eu un impact notable sur le développement de l’association ?

Notre virage web a été pris très tardivement. Néanmoins, la refonte du Club autant dans son esprit que sur internet lui a permis d’avoir un impact beaucoup plus important. Nous sommes vus, nous organisons des évènements importants comme le festival des étudiants en journalisme ou également prochainement le 2 mars le salon des médias lyonnais et des personnalités viennent également tenir des conférences comme Victor Castanet.

Ce format associatif a-t-il été le premier en France ?

C’est un Club unique en France car nous mêlons les différentes professions afin de nous entraider. Autrefois, le métier de journaliste était un métier égoïste. Je pense qu’il faut faire comprendre aux étudiants aujourd’hui que ce n’est plus le cas. Pour soutenir la survivance et le développement de médias concrets et dignes de confiance, il faut s’entraider.

Groupe 8 :

Alicia Tournier, Rachel Castan, Eloïse Laurent, Janelle Laurent, Ariane Nguyen, Antonin Rollion, Rebecca Sannino, Arno Saoudia, Timothée Thomas-C.

NOTEZ CET ARTICLE : 1 étoile2 étoiles3 étoiles4 étoiles5 étoiles
Chargement

A découvrir dans la même rubrique