Fanny Thévenoud est à la tête du pôle presse de la région Occitanie depuis plusieurs années. Elle a fait des études de sciences politiques et de communication publique. Elle a travaillée en région Rhône-Alpes avant d’intégrer la région Occitanie. Elle nous parle de son métier dans la communication.
Qu’aimez-vous dans votre métier ?
Le métier de la communication implique de pouvoir vendre quelque chose, ce qui n’est pas le cas des journalistes. On doit savoir maîtriser les relations publiques. On peut aussi suivre l’actualité. Ce métier offre la possibilité d’évoluer.
En quoi ce métier vous permet-il d’évoluer ?
Ce métier fait partie des métiers de la communication. Il offre donc des possibilités d’évolutions ou de passerelles vers d’autres métiers autres que ceux en relation avec la presse, comme directeur/trice de communication, ou consultant.e en communication, qui sont davantage liés à de la stratégie globale de communication. Il peut aussi diriger vers l’influence et les relations publiques, mais aussi vers les relations institutionnelles.
Quelles sont les principales différences entre travailler en Occitanie et travailler en région Rhône-Alpes ?
Le point commun de ces deux régions est qu’elles sont deux collectivités publiques et deux administrations publiques. En Rhône-Alpes, j’ai uniquement été attachée de presse. J’ai été recrutée lors de mon stage de fin d’étude, ce qui est la preuve qu’il faut multiplier les expériences/stages professionnalisants. En Occitanie, j’ai évoluée en étant d’abord attachée de presse, puis responsable service, et enfin directrice adjointe de la communication en charge du pôle information.
Comment voyez-vous le futur de ce métier ?
J’imagine que nous allons vers toujours plus de polyvalence : stratégie digitale, rédaction de contenus, vidéo, print… L’information du citoyen reste cependant la priorité, quelque soit les outils. La relation usager et le développement conversationnel seront des clés de la communication. Les métiers de la communication ont été particulièrement impactés par la crise du COVID-19, donc nous devons sans cesse nous adapter.
Groupe 3 – Toulouse
Maureen GILLET, Cannelle BASTIEN, Maëlle GIROUD, Noémie LARRIBEAU, Mathis FORCE, Louis MALBEC
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