Il représente un rêve, une idée folle pour de nombreux artistes. Nous nous sommes rendus au Zénith pour en découvrir les coulisses.
Le précurseur
Il ne devait être qu’éphémère, tout comme la Tour Eiffel, quatre-vingt-quinze ans avant lui. Pourtant, le Zénith est toujours là.
Inauguré par Jack Lang, il devait être une œuvre temporaire, mais devant son succès, seize autres salles verront le jour.
Une journée au Zénith
Pour notre visite, nous entrons par la porte réservée aux artistes, où nous nous dirigeons vers la scène.
Une salle aux proportions imposantes, 1200 mètres carrés sur 500, elle est là, faisant face aux 6 000 gradins du Zénith. L’intérieur est tout à fait impressionnant. La salle parisienne fait d’ordinaire, travailler une multitude de personne, pour y produire ainsi, une grande diversité de représentations.
De nombreuses personnalités s’y sont en effet rendus, de Johnny 
Hallyday à NTM, en passant, plus récemment, par David Guetta. Le Zénith étant complètement modulable, il peut également accueillir de véritables shows, comme Holiday On Ice. Notre visite se poursuit ensuite dans la partie loge, celle que personne ne voit habituellement.
Avec ces airs d’immeubles New-Yorkais, c’est là que l’on réalise vraiment la puissance du Zénith. L’imposant lustre au plafond lui donne même des allures de spectacle dans le spectacle. Des loges les unes à côté des autres et une petite buvette nous laisse imaginer le fourmillement qui s’y produit durant les grands soirs.
La visite s’achève finalement sur cette dernière découverte. Nous repartons alors, laissant derrière nous le premier Zénith de France, espérant tous y revenir bientôt, par l’entrée du public.
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