À la recherche du Progrès -

Lors d’une interview dans les locaux du Progrès à la découverte des différentes facettes de leur métier, nous avons pu rencontrer une journaliste Sandra Fargier avec son équipe afin de s’imprégner dans ce vaste monde qu’est le journalisme pour élargir notre curiosité en tant que jeune étudiant de Lyon.

En cette matinée du jeudi 12 septembre, nous avons pu interviewer Benoit Mouget en compagnie de Sandra Fargier, journaliste depuis plus de 20 ans à ce journal régional.

Derrière les coulisses du Progrès

Depuis 2007 le Progrès siège à Confluence dans un immeuble de 11000m2. Ce dernier abrite plus de 450 collaborateurs regroupant le Progrès, son site internet et Lyon plus. Le journal compte 263 journalistes, 1 800 correspondants locaux et une moyenne de 850 000 lecteurs par jour. En parlant de rédaction, l’imprimerie se situe à chassieux.

Benoît Mouget, directeur du Desk du Rhône a eu la gentillesse de répondre à nos questions. Il nous a partagé la force du Progrès en tant que journal numéro un du Rhône. En effet il nous dit :

» Nôtre force à nous c’est vraiment nôtre ancrage local, la proximité est une formation à ne pas dénigrer, nous ne sommes pas un journal National. Ancrez vous localement et vous allez commencer à comprendre le monde par ce prisme local, c’est hyper important et le Progrès à durer grâce à ça « .

En pleine adaptation pour un jeune public

Depuis plusieurs années, le Progrès s’ouvre à un large public en s’adressant notamment à la nouvelle génération. Le passage du format papier au numérique était donc nécessaire. En effet, la journaliste nous a rappelé que la plupart des jeunes ne s’informent que par Internet. En créant leur site web ainsi que leur application, l’information circule en continu et permet aux jeunes d’être mieux capter.

Le Progrès a parfaitement été capable de se diversifier en élargissant leur réseau. En effet, en possédant un compte Instagram et TikTok qu’ils alimentent régulièrement, ils peuvent parler aux jeunes publics en passant par leurs réseaux sociaux favoris. De plus, sous les directives de Sophie Desjardins, responsable du service vidéo, la création de leur chaîne YouTube permet la publication de leurs reportages sous tous types de plateformes.