Retour sur une matinée de découverte dans les locaux du Parisien pour les étudiants de première année en journalisme.
Nous nous rendons aujourd’hui sur un lieu influent de la presse, accompagnés de l’ambiance énigmatique du petit matin.
Et comme si la loi du temps n’avait pas d’impact ici, les couloirs du Parisien discrètement accompagnés d’une odeur de café fraîchement coulée sont déjà en pleine effervescence. Ça s’active, ça feuillette le papier journal, BFM TV fait écho dans tous les bureaux du journal.
Et comme si la loi du temps n’avait pas d’impact ici, les couloirs du Parisien discrètement accompagnés d’une odeur de café fraîchement coulée sont déjà en pleine effervescence. Ça s’active, ça feuillette le papier journal, BFM TV fait écho dans tous les bureaux du journal.
Le temps pour nous de parcourir ce que le monde a à nous offrir en ce jeudi 19 Septembre et nous voilà projeté dans l’univers de ceux qui savent, ceux pour qui l’actualité est un terrain de jeu, une attraction.
Les journalistes patiemment assis à leur places, attendent le début de la conférence de rédaction.
Au milieu de tous ces cerveaux en ébullitions se tient le chef d’orchestre, le dos droit et la partition en main, la symphonie commence.
Au milieu de tous ces cerveaux en ébullitions se tient le chef d’orchestre, le dos droit et la partition en main, la symphonie commence.
De l’économie à la politique en passant par le sport, chaque journaliste va défendre son sujet bec et ongles. Le chef d’orchestre qui n’est autre que le rédacteur en chef adjoint du Parisien valide d’un attentif hochement de tête et quand la témérité lui prend d’une interjection discrètement placée.
Face à ce véritable match journalistique qui se joue sous nos yeux, nous modeste étudiants suivons cet échange animé avec attention et ébahissement. Une sensation de platitude prend alors le dessus face à ce bouillonnement intellectuel.
Lori David
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