Le parcours atypique de Véronique Lopes, journaliste pour Tribune de Lyon.

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Dans la poursuite du Tour E-Media de l’ISCPA, nous rencontrons ce vendredi 16 septembre Véronique Lopes, journaliste pour Tribune de Lyon à la rubrique gastronomie et art de vivre. Elle a accepté de répondre à quelques questions.

Léa : « Bonjour Véronique, merci de nous recevoir. On souhaiterait savoir quel a été votre parcours professionnel ? »

Véronique Lopes :  « C’est un concours de circonstances qui a fait qu’aujourd’hui, je me suis retrouvée dans le journalisme et plus particulièrement dans la gastronomie. Une amie à moi a créé « Bébézine » qui était consacré à la parentalité de jeunes enfants (entre 0 et 4 ans environ). Je l’ai aidée à monter le projet pendant 3 ans et demi jusqu’à ce que nous soyons rachetés par Tribune de Lyon, il y a 11 ans. Au début, j’ai continué à m’occuper de Bébézine, puis j’ai eu un mi-temps consacré au web avec le développement des réseaux sociaux. Peu de temps après, je me suis consacrée à la gastronomie, un thème qui m’est cher personnellement, et j’ai donc maintenant la chance d’occuper cette place de journaliste. »

Bastian : « Pourquoi vous êtes vous engagée dans des associations telles que « Abus de Ciné » ou encore « Business Woman Rhône-Alpes ? »

Véronique Lopes : « C’est avec cette même amie qu’on a créé Business Woman Rhône-Alpes 1 an avant la création de Bébézine. Le but était de créer un réseau de femmes entrepreneuses. On voulait vraiment mettre en scène un espace de rencontres humaines avant tout. Pour Abus de Ciné, encore un concours de circonstances. En allant au cinéma, une personne distribuait des flyers, roulés comme un parchemin, où il y avait dessus des critiques de films, et sur le côté, une annonce pour un poste en traduction, pour avoir des critiques de films en anglais. J’ai rencontré le directeur de l’association, puis j’ai commencé à écrire des chroniques pour « Abus de Ciné ». J’ai eu la chance de partir à Cannes, Deauville, Venise, Berlin. C’était vraiment enrichissant pour moi. »

Léa : « Qu’est-ce que ça provoque de travailler dans un environnement toujours en mouvement avec des sujets très variés chaque jour ? »

Veronique Lopes : « Je dirais que c’est aussi enrichissant que fatiguant. Pour le coup, on a chacun notre propre façon de traiter l’information. Ici, il n’y a aucune concurrence, tout le monde est vraiment bienveillant. Par exemple, quand un journaliste est en retard sur sa production, un autre peut l’aider. Le but, c’est que le magazine soit bouclé le mardi soir, donc c’est plutôt stimulant. C’est une entreprise où les choses bougent, et où on peut faire avancer beaucoup de projets. »

Bastian : « Avez-vous des conseils à nous donner pour réussir dans notre future vie professionnelle ? »

Véronique Lopes : « Multipliez le plus de stages possibles durant votre scolarité et testez-vous. Essayez de savoir ce qui vous plait. Si on n’essaye pas, on ne peut pas savoir, faites au moins tous un stage en presse quotidienne régionale, c’est très formateur. Aussi, essayez de vous engager au maximum dans des associations,  c’est comme ça qu’on se crée un réseau. »

GROUPE 3- Lola CRAPIZ, Lilou COMBETTE, Léa CHALVET, Louis CURVAT, Chiara BASSANI, Valentine MILLOT, Bastian DEPASSE, Mathis GENESTE

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